C’est le moins qu’on puisse dire. D’abord parce que chaque nouveau numéro de Dreamwest est un événement en soi. Mais aussi parce que le magazine sera dans les jours et les semaines à venir un formidable vecteur événementiel, en effet.
A commencer – pour ne donner que cet exemple – le 6 juin prochain au Hard Rock Café de Nashville. Pendant les prestigieux CMT Awards, Dreamwest va animer, dans ce lieu mythique de Music City, un show en direct : Music & Fashion (« Musique et mode »). Un show assuré par une des stars de la country, David Church, où l’on verra notamment Phil Vassar, The Roys, Georgette Jones, Travellin’ Rose, le groupe Monroeville, nos amis Steve & Heather, etc. Un show et un défilé de mode du couturier Manuel (American Designs) dont les bénéfices iront à la I’ll Fly Away Foundation qui œuvre pour transmettre l’héritage musical américain aux enfants des écoles.
La « une » de ce numéro de Dreamwest est consacrée à Kelly Willis qui, avec son mari, Bruce Robison, sera une des têtes d’affiche de la 25e édition du premier festival européen de country, le Country Rendez-Vous de Craponne (27, 28 et 29 juillet) drivé par Georges Carrier. Deux pages sont consacrées au programme de ce festival unique en France et en Europe.
On trouvera aussi le détail des autres festivals de l’été avec une ouverture sur le festival Cognac Blues Passion (du 3 au 8 juillet) où se produiront notamment les Cranberries, Tom Jones, Sting, Hugh Laurie (le fameux « Docteur House »). Belle et bonne occasion de rappeler que le Passeport Dreamwest, que l’on obtient tout simplement en s'abonnant à la revue, permet de bénéficier de tarifs très préférentiels aux plus importants festivals country de l’été.
Il n’y aurait que ça, ce serait déjà énorme ! Mais il y a aussi tout le reste qui fait la richesse de Dreamwest : ses infos, ses anecdotes, ses dossiers (la seconde partie du dossier « Michigan »), ses chroniques de livres et de CD, ses approches historiques (la guerre de sécession comme on ne vous l’a jamais racontée), ses recettes de cuisine américaine, ses « indiscrets », ses coups de cœur, ses coups de chapeau, etc.
A chaque nouveau numéro de Dreamwest, qui est devenu une référence aux Etats-Unis où l’on a toujours une longueur d’avance sur nous, je pousse des « ah ! » et des « oh ! » d’émerveillement tant je me régale à lire une revue de cette qualité – la seule dans son genre – consacrée à notre univers. Ayant un peu de bouteille dans l’édition et le journalisme, je sais en outre ce qu’il faut de travail, de sueur, d’huile de coude – et d’amour – pour arriver à un tel résultat.
Alors ? Alors n’attendez plus – si ce n’est déjà fait – pour vous abonner. Parlez-en autour de vous, parlez-en à vos amis et à vos proches : quand il y a des bonnes nouvelles de cette sorte dans un monde qui part en quenouille, il faut en faire profiter ceux qu’on aime !