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stan martin

  • un nouveau disque "Whiskey Morning" pour Stan Martin par Alain Sanders

    Stan Martin : Whiskey Morning La crème de la crème !

     

    Rick Allen, du magazine Vintage Guitar, dit de Stan Martin : “Il est une célébration de tout ce qu’il y a de meilleur dans la country music”. Et il a raison. Nous avons d’ailleurs déjà eu l’occasion de parler de lui sur Music Box, de passer ses chansons et de dire combien nous avions apprécié son précédent album, Distilled Influences. Il est de retour avec un nouvel album, son cinquième, Whiskey Morning.

     

    Voici ce qu’il en dit : – Ce CD a été fait “à l’ancienne”, en honneur et en hommage à toutes les légendes de la country music qui sont mes héros. On a rassemblé quelques micros, convoqué les musiciens et capturé ces précieux moments sans l’aide de gadgets digitaux. Tous les morceaux de l’album sont signés Stan Martin.

    Né à Boston – nobody is perfect… – Stan est, de son propre aveu (et cela le débostonise…), le disciple de deux légendes justement : Merle Haggard et Buck Owens. Mais il doit aussi beaucoup à sa maman qui a joué avec des groupes locaux de country et de bluegrass. A 11 ans, on lui offre sa première guitare. Il apprend à en jouer.

    Seul. A 15 ans, il écume les honky tonks. Il explique : – J’ai grandi comme un enfant pauvre. Je n’ai jamais été en quête d’un genre musical. J’ai été élevé et nourri à la country music et c’est ce que je joue. Un temps, il tiendra la lead guitar au sein d’un groupe de country rock, les Merles, mais aussi pour John Lincoln Waight et les Sour Mash Boys. Et il commencera à écrire et à composer tout en peaufinant sa passion pour la Telecaster. Son album Cigarettes and Cheap Whiskey recevra un bon accueil de tous les médias et une reconnaissance – genre : il est des nôtres – de ses pairs.

    Ce qui l’amènera à partager la scène avec Patty Loveless, George Jones, Loretta Lynn, Billy Joe Shaver, John Lauderdale, Martina McBride. Pour Whiskey Morning, il s’est assuré la complicité du joueur de basse Dave Roe (il fut celui de Johnny Cash et de Dwight Yoakam), mais aussi de l’élite – la crème de la crème – des musiciens de Nashville : le batteur Dave Dunscath (c’est aussi celui de LeeAnn Womack), le pedal steeler Pat Stevens ( un monument du Grand Ole Opry, sideman de Bill Anderson), le guitariste Mike Baker (Vern Gosdin, Dottie West), l’accordéoniste Jihn Deadrick (Patty Griffin, les Dixie Chicks).

    Ce qui se fait de meilleur dans la country music comme ledit Vintage Guitar ? Oui. Avec un clin d’œil, mais juste a wink, à la country pop façon Mavericks avec The Note. Avec une Kriss Kristofferson’s touch avec Singer of Songs et Damn This Town. Et un zest de country rock avec Running Away. Stan Martin est fidèle à ses racines. Parce que, explique-t-il encore, “les gens s’aiment toujours, qu’ils perdent parfois leur amour, qu’ils aiment boire un coup, parce qu’ils aiment – et ça aussi depuis toujours – écouter des chansons qui parlent de tout ça”.

    Il ajoute : – Willie Nelson a dit la chose la plus sensée qui soit quand il a dit : “ La musique donne cette chance aux gens d’aimer quelque chose ensemble. Une chance aussi, comme il le chante dans Whiskey Morning, de chasser le diable qui est en nous… – stanmartin. net

  • Walk away par Stan Martin

    stan martin, country music, nouveauté 2012, disque sorti en 2012

    podcast

    Quand on vous dit que Stan Martin, dont le quatrième album, Distilled Influences sorti en 2012 , est originaire de Boston, vous vous dites: « De Boston ? Ah, bon… Ils font de la country dans cet état nordiste»

     Et ce n’est pas un hasard si le label qui a produit Distilled Influencess’appelle Twangtone Records. Le twang, c’est cet « accent » qui fait que vous êtes country. Le twang de Stan Martin, c’est duhardcore. Et il est de ce fait le premier artiste véritablement country sorti de Nouvelle-Angleterre.


    Stan Martin a, certes, grandi à Boston. Mais il a été nourri de ce qu’écoutait sa mère. A savoir du Johnny Cash et du Merle Haggard. Difficile de trouver mieux. Et, pour que les choses soient bien claires, on trouve parmi ses musicos, outre Marc Hickox (basse), Ducky Carlisle (drums, percussion), Michelle Martin (harmony vocals), un certain Scott Joss. Qui fut lefiddler de Merle Haggard.

    Dans The Boston Globe, Steve Morse écrit : « Stan Martin est un héros country non encore célébré dont la touche honky tonk devrait accrocher les oreilles de Dwight Yoakam, de Merle Haggard, et de tous ceux qui aiment la musique qui déménage. Depuis ses débuts avec The Merles, Stan a cultivé sa passion, chantant et faisant du picking avec un talent qui devrait pousser Nashville à frapper à sa porte. » Ce qui serait encore mieux (mais, ça, un journaliste de Boston n’est pas obligé de le savoir), ce serait que ce soit Austin qui frappe à sa porte.

    Sur la pochette de Distilled Influences, on distingue des 33 T de George Jones, Buck Owens, Johnny Cash, Lefty Frizzel, les Outlaws (Kris Kristofferson, Willie Nelson, Waylon Jennings, Johnny Cash), Tammy Wynette, etc.

    Tant que Stan nous distillera de telles influences, on est preneur !