Pour acheter le cd voici l'adresse c'est soit via paypal soit lors d'un concert en France ou au Royaume-Uni: http://percy.free.fr/site/CD.html
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Tani Allen a sorti avec son groupe "His Pals Tennessee" six singles entre 1950 et 1952. Voici le premier sorti en 1950. Il a été popularisé par la suite par Bill Haley en version rock. Bill Haley a commencé par être un chanteur de Country Music avant de devenir un chanteur de Rockabilly qu'est finalement un enfant de la Country Music.
Par la suite d'une faute d'orthographe beaucoup de disques sont sortis sous le nom de " Tiny Allen & His Pals Tennessee"
Dans les années 1960, Allen a écrit plusieurs chansons à succès pour George Hamilton IV et Carl Smith .
Ranch House Favorites est un groupe néerlandais faisant du "Western Swing", style de Country-Music qui a été très en vogue entre les années 1940 et 1950.
Le site du groupe: http://www.danceranch.com/ . On peut télécharger gratuitement plusieurs de leurs chansons, on peut aussi voir d'autres vidéos lors de festivals Country-Music en Europe.
Le groupe britannique, Hillbilly Hiccups, dirigé par Percy Copley était en France pour un concert lors du Salon Country Western de Cergy dans le Val d'Oise.
En cliquant sur l'image suivante vous pouvez voir un album photo dynamique.
Premier morceau d'Alt-Country. Heureusement que youtube existe pour permettre de découvrir des groupes qui ne passe pas sur les radios françaises.
Nouveauté d'Avril 2012 de Kix Brooks.
"Get Rhythm"
Hey, get rhythm when you get the blues
Come on, get rhythm when you get the blues
Get a rock 'n' roll feelin' in your bones
Put taps on your toes and get gone
Get rhythm when you get the blues
A Little shoeshine boy never gets low down
But he's got the dirtiest job in town
Bendin' low at the peoples' feet
On the windy corner of the dirty street
Well, I asked him while he shined my shoes
How'd he keep from gettin' the blues
He grinned as he raised his little head
Popped a shoeshine rag and then he said
Dans un paysage musicalo-médiatique français où la country est réduite, c’est le moins qu’on puisse dire, à la portion congrue, c’est toujours un bonheur de voir émerger un nouveau groupe qui choisit, de manière courageuse vu le contexte peu favorable, de servir malgré tout la plus belle musique du monde. Dans la série, ils sont français, ils sont country – et en plus, ils sont vachement bons ! –, voilà donc le groupe Texas Line.
A savoir : Olivier Bernon (chant lead, guitare), Jeff Gautier (drums, chœurs), Jean-Marc Hébert (basse, chœurs), Manu Bertrand (steel guitar, dobro, banjo, mandoline), Olivier Leclerc (violon, mandoline), Ralph Adam (piano). De ces six là, je connais surtout Jeff qui est aussi – et c’est une référence – le batteur du groupe Bus Stop.
Leur album 12 titres s’appelle Old Time Is Still There : le (bon) vieux temps est toujours là. C’est un bon titre et une bonne profession de foi qui nous garantissent que l’on ne va pas patauger dans la country pop ou pire encore…
Le choix des morceaux présents sur ce CD le confirme à l’évidence : Folsom Prison Blues (Johnny Cash) ; Bonaparte’s Retreat (un standard de Pee Wee King, tous deux méconnus – le morceau et Pee Wee King – en France) ; Watermelon Crawl (Tracy Bird) ; Ain’t Nothing Like (Brad Paisley) ; Harvest (Neil Young). Et aussi : Margaritaville (Jimmy Buffet) et That’s How I Got To Memphis (Buddy Miller). Un mot de ces deux titres.
Le premier, Margaritaville est un morceau emblématique de Jimmy Buffet, chantre, comme on sait, d’une country où les saveurs caraïbéennes affleurent sous chaque note. Le groupe Texas Line en a saisi l’esprit et en donne une version tout à fait it’s five o’clock somewhere…
Le second, That’s How I Got To Memphis, est un grand classique country malheureusement plus ou moins salopé en français par Eddy Mitchell sous le titre Sur la route de Memphis. On le retrouve là dans sa version genuine sans détour saugrenue sur une banquette arrière de police avec un chien-loup au regard un peu fou…
Mais Texas Line ne se contente pas de covers, aussi bons soient-ils. Leur album comporte en effet cinq compositions originales, presque toutes signées par Olivier Bernon et Jean-Marc Hébert : Now I See The Light (qui aurait plu à Hank Williams) ; A Cowboy’s Life (qui sonne comme un classique) ; Old Time Is Still There (qui a donné son titre à l’album) ; Dust & Shade (du seul Olivier Bernon) ; Singing The Honky Tonk (ce qui est tout un programme en soi).
Histoire de se concilier les faveurs des remueurs de popotins sans doute, Texas Line indique les danses que l’on peut exécuter (à tous les sens du mot, hélas…) sur chacun des morceaux. Mais, avant de gigoter sur ces titres, écoutez-les avec le cœur et les oreilles : Texas Line n’est pas un groupe de « plus », c’est un combo de musiciens de grand talent.