La Country music - Page 21
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"Drinking Wine On a Wednesday par The Hot House Four
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Kayla Hotte & her Rodeo Pals
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Ville américaine : Springfield (missouri)
C'est la plus grande des villes américaines portant ce nom avec 150 000 habitants. C'est dans cette ville, le 30 avril 1926, que l'on proposa d'adopter le numéro 66 pour cette route qui s'appelait avant « The Mother Road »
La troisième ville de l'état, a connu en 1861, une bataille opposant l'Union et la Confédération, sur le lieu s'appelant « Wilson's Creek » chaque camp y laissa plusieurs milliers de morts. Il existe un musée pour voir le site internet cliquez ici
En 1922, la mosquée Abou Ben Adhem (donc 1 an avant la mosquée de Paris en France), a été inauguré, elle est construite en briques rouges, elle est la seule situé au bord de la route 66.
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Etat américain : Le Missouri
L'ancienne route 66 aime cet état car elle parcoure plus de 500 kilomètres sur ses terres.
Cet état tire son nom d'un mot sioux qui signifie « région des grandes pirogues », référence sans doute à celles qui naviguaient à l'époque sur la rivière éponyme.
Le Missouri a une surface de 181 000 km2 et a pour capitale Jefferson City nommée ainsi en l'honneur du troisième président de l'Union qui était le Républicain Thomas Jefferson.
Il y a deux autres villes importantes dans cet état elles se nomment : Kansas City et bien sur Saint-Louis (qui montre le passé français de ce territoire)
Cet état possède des grottes magnifiques à Meramec et à Springfield.
Cet état avant la loi sur la Prohibition (voulu par les ligues de tempérance protestantes) le deuxième état producteur de vin de l'Union. Depuis une vingtaine d'année, il essaie de reprendre une place parmi les grands états viticoles américains. Répartis sur plus de 45 000 hectares, les vignes sont encore loin des vignobles californiens qui sont répartis sur 173 000 hectares et qui produisent plus de 90% de la production viticoles américaines.
Le Missouri a aussi ses montagnes, avec le massif des Ozarks qui culmine à 540 mètres. Ces paysages vallonnés et verdoyants sont ponctués de petites communautés possédant de jolis temples en bois qui montrent que l'on est bien au cœur de la Bible Belt, ce territoire connu pour sa foi protestante fondamentaliste.
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Mamas Last par David Lee Murphy
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Its Hard To Know When It's Over par Modern Earl
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First Kiss par Kid Rock
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Alain Sanders parlant du disque "From Oregon to Ireland" de Joni Harms
Dire que j’apprécie et que j’admire Joni Harms, cette First Lady de la country music qui vit dans son ranch de l’Oregon (c’est une vraie cowgirl), serait encore peu dire. Et je garde comme autant de moments précieux nos longues discussions lors de ses différents passages en France. Comme on dit, that’s my kind of people.
En juillet de l’année dernière, elle a donné un concert en Irlande. Avec pour l’accompagner un groupe – plus que ça : une famille – irlandais, The Sheerin Family. Ce concert a donné lieu à l’enregistrement d’un CD live que l’on peut découvrir : From Oregon to Ireland. Avec un titre éponyme qui fait mon bonheur : s’il fallait encore expliquer et démontrer que toute la musique qu’on aime elle vient de là, elle vient d’Irlande, il suffirait de passer ce morceau.
Sur cet album, on retrouve nombre de chansons écrites par Joni Harms (avec Barbie Isham, Roger Murrah, Hobo Jim Varsos, Wood Newton, Pat McManus, Dan Tyler notamment), et, pour certaines, interprétées lors de ses passages au Grand Ole Opry.
Certaines sonnent presque comme des manifestes face à la country sirupeuse qui n’a d’ailleurs plus grand chose de country. Comme Here Comes The Country ou Let’s Put The Western Back In Country Music (“Remettez du western dans la country”).
D’autres racontent le vécu de cette élégante cowgirl qui n’oublie jamais, elle, que l’on parlait naguère de country and western music : Weakness For Cowboys, Two Steppin’ Texas Blue, Cowboy Up. Mais elle dit aussi sa complicité avec un de ses chiens qui l’accompagne quand elle s’occupe du bétail : Buddy and Me. Elle chante l’amour, bien sûr. Avec l’une des plus belles et des plus simples chansons que je connaisse sur ce thème : After All. Ou encore He’s More Than Your Eyes Can See, Love Won’t Get Nowhere If We Don’t Start Somewhere, We Work It Out.
Pour la connaître bien, on écoutera avec les yeux du cœur Harms Way et – encore plus personnel – Old Fashioned Girl. Elle chante sa foi dans That’s Faith et dans le superbe Joseph Built The Craddle, elle flirte avec le style cajun dans Louisiana Hot Sauce, elle salue le Texas avec West Texas Waltz et le Montana avec Blue Montana Moon.
Juste avant les rappels, elle termine généralement ses concerts par une déclaration d’amour au public chantée en acoustique, seule sur scène, I Want To Sing For You. Elle dit, pour cet album live, son bonheur d’avoir joué avec la Sheerin Family (huit personnes : sept hommes et une femme) : “Sans vous (et un peu d’aide du Bon Dieu), ce CD n’aurait pas été possible”. D’Oregon en Irlande, il y a des milliers de kilomètres. Mais l’amour efface les distances (comme on le sait au moins depuis les Judds : Love Can Built A Bridge).
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un nouveau disque "Whiskey Morning" pour Stan Martin par Alain Sanders
Stan Martin : Whiskey Morning La crème de la crème !
Rick Allen, du magazine Vintage Guitar, dit de Stan Martin : “Il est une célébration de tout ce qu’il y a de meilleur dans la country music”. Et il a raison. Nous avons d’ailleurs déjà eu l’occasion de parler de lui sur Music Box, de passer ses chansons et de dire combien nous avions apprécié son précédent album, Distilled Influences. Il est de retour avec un nouvel album, son cinquième, Whiskey Morning.
Voici ce qu’il en dit : – Ce CD a été fait “à l’ancienne”, en honneur et en hommage à toutes les légendes de la country music qui sont mes héros. On a rassemblé quelques micros, convoqué les musiciens et capturé ces précieux moments sans l’aide de gadgets digitaux. Tous les morceaux de l’album sont signés Stan Martin.
Né à Boston – nobody is perfect… – Stan est, de son propre aveu (et cela le débostonise…), le disciple de deux légendes justement : Merle Haggard et Buck Owens. Mais il doit aussi beaucoup à sa maman qui a joué avec des groupes locaux de country et de bluegrass. A 11 ans, on lui offre sa première guitare. Il apprend à en jouer.
Seul. A 15 ans, il écume les honky tonks. Il explique : – J’ai grandi comme un enfant pauvre. Je n’ai jamais été en quête d’un genre musical. J’ai été élevé et nourri à la country music et c’est ce que je joue. Un temps, il tiendra la lead guitar au sein d’un groupe de country rock, les Merles, mais aussi pour John Lincoln Waight et les Sour Mash Boys. Et il commencera à écrire et à composer tout en peaufinant sa passion pour la Telecaster. Son album Cigarettes and Cheap Whiskey recevra un bon accueil de tous les médias et une reconnaissance – genre : il est des nôtres – de ses pairs.
Ce qui l’amènera à partager la scène avec Patty Loveless, George Jones, Loretta Lynn, Billy Joe Shaver, John Lauderdale, Martina McBride. Pour Whiskey Morning, il s’est assuré la complicité du joueur de basse Dave Roe (il fut celui de Johnny Cash et de Dwight Yoakam), mais aussi de l’élite – la crème de la crème – des musiciens de Nashville : le batteur Dave Dunscath (c’est aussi celui de LeeAnn Womack), le pedal steeler Pat Stevens ( un monument du Grand Ole Opry, sideman de Bill Anderson), le guitariste Mike Baker (Vern Gosdin, Dottie West), l’accordéoniste Jihn Deadrick (Patty Griffin, les Dixie Chicks).
Ce qui se fait de meilleur dans la country music comme ledit Vintage Guitar ? Oui. Avec un clin d’œil, mais juste a wink, à la country pop façon Mavericks avec The Note. Avec une Kriss Kristofferson’s touch avec Singer of Songs et Damn This Town. Et un zest de country rock avec Running Away. Stan Martin est fidèle à ses racines. Parce que, explique-t-il encore, “les gens s’aiment toujours, qu’ils perdent parfois leur amour, qu’ils aiment boire un coup, parce qu’ils aiment – et ça aussi depuis toujours – écouter des chansons qui parlent de tout ça”.
Il ajoute : – Willie Nelson a dit la chose la plus sensée qui soit quand il a dit : “ La musique donne cette chance aux gens d’aimer quelque chose ensemble. Une chance aussi, comme il le chante dans Whiskey Morning, de chasser le diable qui est en nous… – stanmartin. net
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The Far away Hills par Clint Bradley
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Boots are made for Walking par Robyn and The Rancheros (rockabilly australien)
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The Dark Mile par Patricia Vonne
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My Home and Family par Adam Harvey
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Les Nuits de Nashville par Jean-Luc Leroux
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You're The Reason God Made Oklahoma par Mary Sarah