La Country music - Page 118
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Sara Petite-Bootleggers
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Musique: Leaving of LiverpoolUne chanson qui passe souvent en bal "Country", mais voilà les dj's des soirées country prennent souvent une mauvaise version remixée alors voici une belle version par un groupe breton de chansons de marins. Farewell to Prince's Landing Stage 
 River Mersey, fare thee well
 I am bound for California
 A place I know right wellRefrain: So fare thee well my own true love 
 And when I return united we will be
 It's not the leaving of Liverpool that grieves me,
 But my darling, when I think of thee
 I'm bound off for California
 By the way of stormy Cape Horn
 And I'm bound to write you a letter, love
 When I am homeward boundRefrain. 
 I have shipped on a Yankee sailing shipDavy Crockett is her name 
 And Burgess he was captain of her
 And they say she is a floating hellRefrain. 
 I have shipped with Burgess once before
 And I think I know him well
 If a man's a seaman, he can get along
 If not, then he's sure in HellRefrain. 
 Farewell to lower Frederick Street
 Ensign Terrace and Park Lane
 For I think it will be a long, long time
 Before I see you againRefrain. So fare thee well my own true love 
 I am going fare away
 I am bound to California
 But I know I will return some day
 Oh, the sun is on the harbour, love
 And I wish I could remain
 And I know it will be a very long, long time
 Before I see you again
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Traditionnal Country: John Cherokee John Cherokee was an Indian man John Cherokee was an Indian man
 Alabama John Cherokee
 He run away every time he can
 Alabama John Cherokee, way, hey, yah
 Alabama John Cherokee, way, hey, yah
 Alabama John Cherokee
 
 They put him aboard a Yankee ship
 Alabama John Cherokee
 Again he gave the boss the slip
 Alabama John Cherokee, way, hey, yah
 Alabama John Cherokee, way, hey, yah
 Alabama John Cherokee
 
 They catch him again and chain him tight
 Alabama John Cherokee
 And starve him many a day and night
 Alabama John Cherokee, way, hey, yah
 Alabama John Cherokee, way, hey, yah
 Alabama John Cherokee
 
 Nothing to drink and nothin' to eat
 Alabama John Cherokee
 He just fall dead at the boss's feet
 Alabama John Cherokee, way, hey, yah
 Alabama John Cherokee, way, hey, yah
 Alabama John Cherokee
 
 So they bury him by the old gate post
 Alabama John Cherokee
 The very same day you can see his ghost
 Alabama John Cherokee, way, hey, yah
 Alabama John Cherokee, way, hey, yah
 Alabama John Cherokee
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Far West, une chanson totalement française!une chanson de Raymond Fau parlant du Far West. Refrain Tes blancs chevaux m'appellent 
 Et les plaines si belles.
 Far west, far west !
 Y'a de l'or à la pelle
 Et des villes nouvelles :
 Allons vers le far westAu grand galop soulevant la poussière 
 J'irai là-bas le long de tes canyons,
 Et dans ton ciel tout brûlant de lumière
 Eclatera la joie de mes chansons.
 Je conduirai la vieille diligence
 Je bâtirai mon ranch au bord de l'eau.
 Sous les étoiles, la nuit dans le silence,
 Près d'un feu clair chantera mon banjo.
 Pourtant jamais ne pourront me suffire
 Tous ces trésors que j'aurai découverts.
 Je reviendrai dans mon pays revivre
 Au souvenir des galops du désert.
 Et des amis j'en aurai par centaines ;
 Nous bâtirons le monde de demain.
 Un monde en paix où la joie sera reine
 Ce monde heureux dont rêvent les copains.
 Tes blancs chevaux m'appellent
 Et les plaines si belles.
 Far west, far west !
 Y'a de l'or à la pelle
 Et des villes nouvelles :
 Allons vers le far west
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Song des Chantiers de François LebouteuxSong des Chantiers Joue sur ton banjo le départ dans la nuit, Bien malin qui connaît le chemin Joue sur ta guitare le nez bleu des amis, S'il fait froid, on sera mieux demain. Refrain: Joue sur ta guitare le refrain des chantiers sous la lune! Joue sur ton banjo la sonate aux étoiles le refrain des pionniers de demain. Joue sur ton banjo les grands coups de cognée Qui réchauffent et le coeur et la main Joue sur ta guitare les géants alignés Qui seront les maisons de demain. Joue sur ton banjo les ampoules qui saignent En forgeant on devient forgeron Joue sur ta guitare et la joie et la peine C'est tout un pour un vrai bûcheron. Joue sur ton banjo les plaisirs interdits Le vin blanc fait du mal au enfants Joue sur ta guitare les douceurs de la vie Le chantier c'est toujours du bon temps. Joue sur ton banjo le grand feu qui s'allume Les histoires qu'on écoute en rêvant Joue sur ta guitare les chantiers sous la lune Et la paix qui s'étend sur le camp. 
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"I've Been Working on the Railroad"Voici encore une chanson de country music américaine qui date de 1894. Elle a été transposée en France sous le titre "Je Travaille sur la Ligne" pour le mouvement Scout de France dans les années 60. Les paroles françaises sont de Paul Dumas. Je travaille sur la ligne 
 Toute la journée.
 Je travaille sur la ligne
 Pour me désennuyer.
 J’entends siffler les machines
 Et je vois passer les trains
 Entre temps, courbant l’échine,
 Je cogne avec entrain.
 Dinah won’t you blow,
 Dinah won’t you blow,
 Dinah won’t you blow your horn, your horn.
 Dinah won’t you blow,
 Dinah won’t you blow,
 Dinah won’t you blow your horn.
 Someone’s in the kitchen I know
 Someone’s in the kitchen Dinah
 Scrambling on his old banjo.Paroles américaines. I've been working on the railroad 
 All the live-long day.
 I've been working on the railroad
 Just to pass the time away.
 Don't you hear the whistle blowing,
 Rise up so early in the morn;
 Don't you hear the captain shouting,
 "Dinah, blow your horn!"
 Dinah, won't you blow,
 Dinah, won't you blow,
 Dinah, won't you blow your horn?
 Dinah, won't you blow,
 Dinah, won't you blow,
 Dinah, won't you blow your horn?
 Someone's in the kitchen with Dinah
 Someone's in the kitchen I know
 Someone's in the kitchen with Dinah
 Strummin' on the old banjo!
 Singin' fee, fie, fiddly-i-o
 Fee, fie, fiddly-i-o-o-o-o
 Fee, fie, fiddly-i-o
 Strummin' on the old banjo.
 Someone's makin' love to Dinah
 Someone's making love I know.
 Someone's making love to Dinah
 'Cause I can't hear the old banjo
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Waltzing Matilda (country australienne)version par Slim Dusty, un grand de la country music australienne. Version française écrite par François Lebouteux et M. Cowan dans le cadre du scoutisme.  
 
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Gospel Country: Vieux Pèlerin (I am a poor wayfaring stranger)Voici la version française du chant gospel Country " I am a poor wayfaring stranger" devenu en français "Vieux Pèlerin. Vieux pèlerin qui vagabonde Je suis partout un étranger Mais je suis sûr qu'en l'autre monde Dieu va m'offrir où me loger Je vais là bas revoir mon Père, Fini pour moi de cheminer. À l'autre bord de la rivière Maison je vais trouver J'achèverai bientôt ma route J'entends tout proche le jourdain La mort n'a rien que je redoute J'y laisserai tous mes chagrins Je vais là-bas revoir ma mère Près d'elle enfin me consoler Sur l'autre bord de la rivière A la maison me reposer. Voici la fin de mes souffrances Et le repos pour mon vieux corps Voici venir la récompense Par Dieu promise à mes efforts Je vais là-bas parmi les anges En oubliant mes vieux soucis Passer mon temps à sa louange Dire à Jésus sans fin- Merci! 
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Vince Gill- Threaten me with Heaven
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Molly Tuttle- It's a Long Road
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Bluegrass Brothers- Country Poor and Country Pride
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The SteelDrivers- The Good Corn Liquor
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Chris Jones & The Night Drivers à Denton Farm Park 2012
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Dreamwest de juin-juillet-août C’est le moins qu’on puisse dire. D’abord parce que chaque nouveau numéro de Dreamwest est un événement en soi. Mais aussi parce que le magazine sera dans les jours et les semaines à venir un formidable vecteur événementiel, en effet. 
 A commencer – pour ne donner que cet exemple – le 6 juin prochain au Hard Rock Café de Nashville. Pendant les prestigieux CMT Awards, Dreamwest va animer, dans ce lieu mythique de Music City, un show en direct : Music & Fashion (« Musique et mode »). Un show assuré par une des stars de la country, David Church, où l’on verra notamment Phil Vassar, The Roys, Georgette Jones, Travellin’ Rose, le groupe Monroeville, nos amis Steve & Heather, etc. Un show et un défilé de mode du couturier Manuel (American Designs) dont les bénéfices iront à la I’ll Fly Away Foundation qui œuvre pour transmettre l’héritage musical américain aux enfants des écoles.
 La « une » de ce numéro de Dreamwest est consacrée à Kelly Willis qui, avec son mari, Bruce Robison, sera une des têtes d’affiche de la 25e édition du premier festival européen de country, le Country Rendez-Vous de Craponne (27, 28 et 29 juillet) drivé par Georges Carrier. Deux pages sont consacrées au programme de ce festival unique en France et en Europe.
 On trouvera aussi le détail des autres festivals de l’été avec une ouverture sur le festival Cognac Blues Passion (du 3 au 8 juillet) où se produiront notamment les Cranberries, Tom Jones, Sting, Hugh Laurie (le fameux « Docteur House »). Belle et bonne occasion de rappeler que le Passeport Dreamwest, que l’on obtient tout simplement en s'abonnant à la revue, permet de bénéficier de tarifs très préférentiels aux plus importants festivals country de l’été.
 Il n’y aurait que ça, ce serait déjà énorme ! Mais il y a aussi tout le reste qui fait la richesse de Dreamwest : ses infos, ses anecdotes, ses dossiers (la seconde partie du dossier « Michigan »), ses chroniques de livres et de CD, ses approches historiques (la guerre de sécession comme on ne vous l’a jamais racontée), ses recettes de cuisine américaine, ses « indiscrets », ses coups de cœur, ses coups de chapeau, etc.
 A chaque nouveau numéro de Dreamwest, qui est devenu une référence aux Etats-Unis où l’on a toujours une longueur d’avance sur nous, je pousse des « ah ! » et des « oh ! » d’émerveillement tant je me régale à lire une revue de cette qualité – la seule dans son genre – consacrée à notre univers. Ayant un peu de bouteille dans l’édition et le journalisme, je sais en outre ce qu’il faut de travail, de sueur, d’huile de coude – et d’amour – pour arriver à un tel résultat.
 Alors ? Alors n’attendez plus – si ce n’est déjà fait – pour vous abonner. Parlez-en autour de vous, parlez-en à vos amis et à vos proches : quand il y a des bonnes nouvelles de cette sorte dans un monde qui part en quenouille, il faut en faire profiter ceux qu’on aime !
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The Steeldrivers - Heaven Sent
