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La Country music - Page 118

  • Musique: Leaving of Liverpool

     

    Une chanson qui passe souvent en bal "Country", mais voilà les dj's des soirées country prennent souvent une mauvaise version remixée alors voici une belle version par un groupe breton de chansons de marins. 


    podcast

    Farewell to Prince's Landing Stage
    River Mersey, fare thee well
    I am bound for California
    A place I know right well

    Refrain: 

    So fare thee well my own true love
    And when I return united we will be
    It's not the leaving of Liverpool that grieves me,
    But my darling, when I think of thee


    I'm bound off for California
    By the way of stormy Cape Horn
    And I'm bound to write you a letter, love
    When I am homeward bound

    Refrain.


    I have shipped on a Yankee sailing ship

    Davy Crockett is her name
    And Burgess he was captain of her
    And they say she is a floating hell

    Refrain.

    I have shipped with Burgess once before
    And I think I know him well
    If a man's a seaman, he can get along
    If not, then he's sure in Hell

    Refrain.

    Farewell to lower Frederick Street
    Ensign Terrace and Park Lane
    For I think it will be a long, long time
    Before I see you again 

    Refrain. 

    So fare thee well my own true love
    I am going fare away
    I am bound to California
     But I know I will return some day

    Oh, the sun is on the harbour, love
    And I wish I could remain
    And I know it will be a very long, long time
    Before I see you again

  • Traditionnal Country: John Cherokee


    podcastJohn Cherokee was an Indian man
    Alabama John Cherokee

    He run away every time he can

    Alabama John Cherokee, way, hey, yah

    Alabama John Cherokee, way, hey, yah

    Alabama John Cherokee



    They put him aboard a Yankee ship

    Alabama John Cherokee

    Again he gave the boss the slip

    Alabama John Cherokee, way, hey, yah

    Alabama John Cherokee, way, hey, yah
    Alabama John Cherokee



    They catch him again and chain him tight

    Alabama John Cherokee

    And starve him many a day and night
    Alabama John Cherokee, way, hey, yah

    Alabama John Cherokee, way, hey, yah

    Alabama John Cherokee



    Nothing to drink and nothin' to eat
    Alabama John Cherokee

    He just fall dead at the boss's feet

    Alabama John Cherokee, way, hey, yah

    Alabama John Cherokee, way, hey, yah

    Alabama John Cherokee



    So they bury him by the old gate post
    Alabama John Cherokee

    The very same day you can see his ghost

    Alabama John Cherokee, way, hey, yah

    Alabama John Cherokee, way, hey, yah

    Alabama John Cherokee


  • Far West, une chanson totalement française!

     

    IMG_2131.JPG

     
    podcast

    une chanson de Raymond Fau parlant du Far West. 

     Refrain

    Tes blancs chevaux m'appellent
    Et les plaines si belles.
    Far west, far west !
    Y'a de l'or à la pelle
    Et des villes nouvelles :
     Allons vers le far west 

    Au grand galop soulevant la poussière
    J'irai là-bas le long de tes canyons,
    Et dans ton ciel tout brûlant de lumière
    Eclatera la joie de mes chansons.

    Je conduirai la vieille diligence
    Je bâtirai mon ranch au bord de l'eau.
    Sous les étoiles, la nuit dans le silence,
    Près d'un feu clair chantera mon banjo.

    Pourtant jamais ne pourront me suffire
    Tous ces trésors que j'aurai découverts.
    Je reviendrai dans mon pays revivre
    Au souvenir des galops du désert.

    Et des amis j'en aurai par centaines ;
    Nous bâtirons le monde de demain.
    Un monde en paix où la joie sera reine
    Ce monde heureux dont rêvent les copains.

    Tes blancs chevaux m'appellent
    Et les plaines si belles.
    Far west, far west !
    Y'a de l'or à la pelle
    Et des villes nouvelles :
    Allons vers le far west 

  • Song des Chantiers de François Lebouteux


    podcast

    Song des Chantiers

     

    Joue sur ton banjo le départ dans la nuit,

    Bien malin qui connaît le chemin

    Joue sur ta guitare le nez bleu des amis,

    S'il fait froid, on sera mieux demain.

     

    Refrain:

     

    Joue sur ta guitare le refrain des chantiers sous la lune!

    Joue sur ton banjo la sonate aux étoiles le refrain des pionniers de demain.

     

    Joue sur ton banjo les grands coups de cognée

    Qui réchauffent et le coeur et la main

    Joue sur ta guitare les géants alignés

    Qui seront les maisons de demain.

     

    Joue sur ton banjo les ampoules qui saignent

    En forgeant on devient forgeron

    Joue sur ta guitare et la joie et la peine

    C'est tout un pour un vrai bûcheron.

     

    Joue sur ton banjo les plaisirs interdits

    Le vin blanc fait du mal au enfants

    Joue sur ta guitare les douceurs de la vie

    Le chantier c'est toujours du bon temps.

     

    Joue sur ton banjo le grand feu qui s'allume

    Les histoires qu'on écoute en rêvant

    Joue sur ta guitare les chantiers sous la lune

    Et la paix qui s'étend sur le camp.

  • "I've Been Working on the Railroad"

    Voici encore une chanson de country music américaine qui date de 1894.

    Elle a été transposée en France sous le titre "Je Travaille sur la Ligne" pour le mouvement Scout de France dans les années 60. 

    Les paroles françaises sont de Paul Dumas. 

     Je travaille sur la ligne
    Toute la journée.
    Je travaille sur la ligne
    Pour me désennuyer.
    J’entends siffler les machines
    Et je vois passer les trains
    Entre temps, courbant l’échine,
    Je cogne avec entrain.

    Dinah won’t you blow,
    Dinah won’t you blow,
    Dinah won’t you blow your horn, your horn.
    Dinah won’t you blow,
    Dinah won’t you blow,
    Dinah won’t you blow your horn.
    Someone’s in the kitchen I know
    Someone’s in the kitchen Dinah
    Scrambling on his old banjo.


    podcast

    Paroles américaines. 

    I've been working on the railroad
    All the live-long day.
    I've been working on the railroad
    Just to pass the time away.
    Don't you hear the whistle blowing,
    Rise up so early in the morn;
    Don't you hear the captain shouting,
    "Dinah, blow your horn!"


    Dinah, won't you blow,
    Dinah, won't you blow,
    Dinah, won't you blow your horn?
    Dinah, won't you blow,
    Dinah, won't you blow,
    Dinah, won't you blow your horn?


    Someone's in the kitchen with Dinah
    Someone's in the kitchen I know
    Someone's in the kitchen with Dinah
    Strummin' on the old banjo!


    Singin' fee, fie, fiddly-i-o
    Fee, fie, fiddly-i-o-o-o-o
    Fee, fie, fiddly-i-o
    Strummin' on the old banjo.


    Someone's makin' love to Dinah
    Someone's making love I know.
    Someone's making love to Dinah
    'Cause I can't hear the old banjo

     

  • Waltzing Matilda (country australienne)

    version par Slim Dusty, un grand de la country music australienne. 

     

    Version française  écrite par François Lebouteux et M. Cowan dans le cadre du scoutisme. 
    podcast
     

     

  • Gospel Country: Vieux Pèlerin (I am a poor wayfaring stranger)

     

    Voici la version française du chant gospel Country " I am a poor wayfaring stranger" devenu en français "Vieux Pèlerin. 


    podcast
     

    Vieux pèlerin qui vagabonde

    Je suis partout un étranger

    Mais je suis sûr qu'en l'autre monde

    Dieu va m'offrir où me loger

    Je vais là bas revoir mon Père,

    Fini pour moi de cheminer.

    À l'autre bord de la rivière

    Maison je vais trouver

     

     

    J'achèverai bientôt ma route

    J'entends tout proche le jourdain

    La mort n'a rien que je redoute

    J'y laisserai tous mes chagrins

    Je vais là-bas revoir ma mère

    Près d'elle enfin me consoler

    Sur l'autre bord de la rivière

    A la maison me reposer.

     

    Voici la fin de mes souffrances

    Et le repos pour mon vieux corps

    Voici venir la récompense

    Par Dieu promise à mes efforts

    Je vais là-bas parmi les anges

    En oubliant mes vieux soucis

    Passer mon temps à sa louange

    Dire à Jésus sans fin- Merci!

  • Molly Tuttle- It's a Long Road

  • The SteelDrivers- The Good Corn Liquor

  • Chris Jones & The Night Drivers à Denton Farm Park 2012

     

  • Dreamwest de juin-juillet-août

     

    Dreamwest, culture américaine, cinéma, musique country, country music, revue, états, usa, australie, classement cd country, music box,

    C’est le moins qu’on puisse dire. D’abord parce que chaque nouveau numéro de Dreamwest est un événement en soi. Mais aussi parce que le magazine sera dans les jours et les semaines à venir un formidable vecteur événementiel, en effet.

    A commencer – pour ne donner que cet exemple – le 6 juin prochain au Hard Rock Café de Nashville. Pendant les prestigieux CMT Awards, Dreamwest va animer, dans ce lieu mythique de Music City, un show en direct : Music & Fashion (« Musique et mode »). Un show assuré par une des stars de la country, David Church, où l’on verra notamment Phil Vassar, The Roys, Georgette Jones, Travellin’ Rose, le groupe Monroeville, nos amis Steve & Heather, etc. Un show et un défilé de mode du couturier Manuel (American Designs) dont les bénéfices iront à la I’ll Fly Away Foundation qui œuvre pour transmettre l’héritage musical américain aux enfants des écoles.

    La « une » de ce numéro de Dreamwest est consacrée à Kelly Willis qui, avec son mari, Bruce Robison, sera une des têtes d’affiche de la 25e édition du premier festival européen de country, le Country Rendez-Vous de Craponne (27, 28 et 29 juillet) drivé par Georges Carrier.  Deux pages sont consacrées au programme de ce festival unique en France et en Europe.

    On trouvera aussi le détail des autres festivals de l’été avec une ouverture sur le festival Cognac Blues Passion (du 3 au 8 juillet) où se produiront notamment les Cranberries, Tom Jones, Sting, Hugh Laurie (le fameux « Docteur House »). Belle et bonne occasion de rappeler que le Passeport Dreamwest, que l’on obtient tout simplement en s'abonnant à la revue, permet de bénéficier de tarifs très préférentiels aux plus importants festivals country de l’été.

    Il n’y aurait que ça, ce serait déjà énorme ! Mais il y a aussi tout le reste qui fait la richesse de Dreamwest : ses infos, ses anecdotes, ses dossiers (la seconde partie du dossier « Michigan »), ses chroniques de livres et de CD, ses approches historiques (la guerre de sécession comme on ne vous l’a jamais racontée), ses recettes de cuisine américaine, ses « indiscrets », ses coups de cœur, ses coups de chapeau, etc.

    A chaque nouveau numéro de Dreamwest, qui est devenu une référence aux Etats-Unis où l’on a toujours une longueur d’avance sur nous, je pousse des « ah ! » et des « oh ! » d’émerveillement tant je me régale à lire une revue de cette qualité – la seule dans son genre – consacrée à notre univers. Ayant un peu de bouteille dans l’édition et le journalisme, je sais en outre ce qu’il faut de travail, de sueur, d’huile de coude – et d’amour – pour arriver à un tel résultat.

    Alors ? Alors n’attendez plus – si ce n’est déjà fait – pour vous abonner. Parlez-en autour de vous, parlez-en à vos amis et à vos proches : quand il y a des bonnes nouvelles de cette sorte dans un monde qui part en quenouille, il faut en faire profiter ceux qu’on aime !

  • The Steeldrivers - Heaven Sent